L’objectif : redonner à cet hôtel son panache d’antan, y accueillir leurs amis et faire découvrir l’art de vivre et les charmes de cette région qu’ils adorent. Déjà à l’origine de la renaissance de l’Hôtel La Co(o)rniche, ils offrent une nouvelle vie à Ha(a)ïtza, et grâce à une réhabilitation signée Philippe Starck, ils poursuivent leur histoire sur les bords du Bassin.
Philippe Starck a imaginé Ha(a)ïtza comme un paradoxe : de la pesanteur du Roc s’élèvent des mondes fantasmés issus de nos imaginaires collectifs. Le bâtiment historique devient une porte d’entrée vers des espaces à la personnalité assumée qui se dévoilent au visiteur et par le visiteur. Dans un éclectisme élégant, Ha(a)ïtza est une série d’abstractions, d’espaces rêvés.
Du terreau fertile offert par la région, Starck a retenu le sable de la Dune du Pyla comme l’un des éléments constitutifs du lieu. A la fois organique et minérale, solide et mouvante, la nature paradoxale du sable est à la base de la construction de l’imaginaire des lieux. Il est la transition entre l’extérieur et l’intérieur, ancrant l’hôtel dans sa région et invitant au voyage vers des Ailleurs, des terres connues ou inconnues. Des terra incognita que l’on retrouve dans l’univers fantasmagorique du Grand Salon